Derniers Commentaires

Lundi 5 mai 1 05 /05 /Mai 12:04
J'avais lu il y a quelques temps "Amour et popotin" de ce même auteur, et je voulais continuer de découvrir ses oeuvres très pornographiques à souhait, avec un style bien à lui.

Présentation de l'éditeur

Dans Le Goût du péché, Esparbec nous décrit avec sa verve habituelle les turpitudes auxquelles se livrent (chacune de son côté) une mère et sa fille, pour tuer l'ennui d'une fin de saison estivale dans un hôtel de la côte normande. De ces deux vacancières lubriques, il serait difficile de dire qui mérite l'Oscar de la concupiscence ! Des grooms en rut aux servantes lubriques, du maître d'hôtel patelin au vieil amateur de fruits verts, du cynique don Juan de Riviera porté sur la fessée au notaire libidineux qui aime bien " partager " ses conquêtes avec ses amis, devant un feu de bois, tout le monde y passe, tantôt avec l'une, tantôt avec l'autre, et personne ne s'en plaint... surtout pas les lecteurs !

Biographie de l'auteur

Si François George, le Dr William Regelson, Jean-Jacques Pauvert, Virginie Despentes, Wiaz, Wolinski, et Delfeil de Ton font partie du club des fans d'Esparbec, c'est qu'ils ont une bonne raison pour ça. Laquelle A vous d'en juger en achetant (tout le plaisir sera pour vous) le dernier " roman pornographique " de l'inclassable auteur de La Pharmacienne, de La Foire aux cochons, des Mains baladeuses, et d'Amour et Popotin.

Mon avis

Nous plongeons dans ce livre sous forme de journal intime. Elle a 12 ans, elle s'ennuie et elle écrit... Elle fait bien plus qu'écrire, elle partage, elle découvre, elle voit sa mère se donner à l'un ou aux autres. Et elle, elle continue à s'imprégner de l'atmosphère pas si sage que cela de cet hôtel de Normandie où ses vacances forcées ne vont pas être si désagréables que cela.

Elles ne valent pas mieux l'une que l'autre, elles font leurs petites vies lubriques, et finalement elles ne sont pas si éloignées qu'elles le pensent.

J'aime beaucoup la photo qui illustre parfaitement le contenu...

Laissez-vous donc tenter par ce journal intime, vous ne le regretterez point.

Par Dita - Publié dans : Mes lectures
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Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 10:36
Elle est là, toute de soie vêtue ma belle orientale... Nous discutons, nous rigolons, je la titille, ces seins pointent à travers cette douce étoffe... J'ai envie d'elle, j'ai envie de lui...

Nous l'emmenons pour un bal triangulaire, sa peau et douce et parfumée... Elle est toute chaude et nos lèvres se scellent dans un doux baiser... Nos mains s'emmêlent et nos souffles s'accélèrent.

Elle est là à notre merci, il l'embrasse, la frôle, elle frémit...

Je dépose de doux baisers sur son corps, ma main glisse vers le calice offert, doux et chaud... Elle halète doucement...

Puis ma bouche devient entreprenante, je la veux là toute à moi qu'elle se laisse aller, qu'elle se laisse envahir par le plaisir, qu'elle me crie sa jouissance...

Je la tient à la recherche de son pistil, ses effluves m'enivrent, je deviens plus hardie ma langue la fouille, la mange, la boit...

Laisses toi aller... elle se cambre dans un spasme délicieux, mes mains la caressent et elle est toute frémissante d'excitation.

A toi ma douce N., en offrande à cet instant délicieux.
Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 15:47
Sensualité à fleurs de mots,
Sensualité affleure ma peau.

Parure sublime,
Pour ce bijou à l'essence divine.

Là, contempler sans y toucher,
La contempler et la frôler.

Laisser son parfum m'enivrer,
Laisser mes sens tout retournés.

Pour enfin m'y approcher,
Et l'entendre enfin murmurer.

Abreuves-toi de mon calice,
Que je t'offres là, tout lisse.

Régales-toi de ma source,
Et fais-moi jouir jusqu'aux secousses.

(Petit hommage à F&N... vous êtes adorables).
Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 15:12



Présentation de l'éditeur

La gamine qui raconte ici ses souvenirs et ses découvertes n'avait que douze ans, au début du siècle. Je l'ai connue lorsqu'elle était adulte. Elle fut à la fois mon premier amour et mon initiatrice. C'est au fond du jardin, à l'abri des regards de sa grand-mère, que Sandrine découvre " la bête ". Sa curiosité l'attire chaque jour au bout du clos. Là, elle apprend le pouvoir que les femmes exercent sur " la bête ". Cette confession érotique, vue à travers un regard enfantin, dégage une force troublante qui ne cesse une fois le roman achevé. On ne peut rester insensible à la franchise de ce texte tendre et sulfureux dont on sort bouleversé.

Biographie de l'auteur

Pierre Béarn (1900-2005), romancier, essayiste et surtout poète de la mer, de l'usine, de l'Afrique, de l'amour, Pierre Béarn est entré dans la collection Poètes d'aujourd'hui en 1972. Le slogan en vogue de Mai 68, Métro, boulot, dodo est tiré d'un de ses poèmes. L'œuvre de Pierre Béarn est tout à fait originale, faite de tendresse, d'émotion et d'observations minutieuses de ses contemporains. Publié aux Éditions Ramsay en 1989, La Bête a été unanimement salué par la presse qui a souligné la tendresse et l'émoi que suscite ce roman de Pierre Béarn. Epuisé depuis de trop nombreuses années, il était important de le faire redécouvrir aux lecteurs.

Mon opinion

Dès les premières pages, nous entrons dans l'univers de la petite SAndrine, invisible aux yeux de tous ; et surtout de sa mère et de sa grand-mère.

Mais en elle naît un feu, une curiosité qui veut lui faire découvrir la Bête... Elle captive Grand Paul, puis Monsieur, le frère de Monsieur, ne s'intéresse guère aux jeux de touche pipi des gamins de son âge.

Non, elle veut plus, elle veut comprendre, elle veut découvrir cette bête enfouie, la réveillée, la voir jaillir et éclater...

Mais jusqu'où ira t-elle ?

A vous de le découvrir, cette histoire d'une fillette de 12 ans pourrait être choquante, mais elle est écrite avant tant de douceur, tant de franchise, et tant de souffre.

La fin est magnifique mais je ne vous en dirais pas plus. Déléctez-vous juste tout comme moi de ce roman.
Par Dita - Publié dans : Mes lectures
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Samedi 5 avril 6 05 /04 /Avr 11:45

Soins intensifs pour jeune veuve un peu déprimée.

Résumé :


Jeune veuve un peu déprimée, Blanche de N. est partie suivre une cure dans la ville d'eaux réputée. Mais son corps sevré de caresses va lui jouer d'étranges tours sous les mains des masseurs...et au cours des bains de boue. L'idée de se mettre nue devant des inconnus, de se laisser toucher par eux, la rend folle. Ceux-ci sentent "la chair faible" et se font plaisir de la plier aux plus bizarres "traitements". La cure achevée, Blanche de N., guérie de sa "dépression", est devenue une véritable nymphomane. Doit-elle s'en désoler...ou s'en réjouir ? A vous de le dire.

Mon avis :

Une jeune femme de 29 ans connaît des problèmes de dos, et son médecin lui conseille une cure. Blanche va redécouvrir le plaisirs, découvrir de nouveaux plaisirs, entre culpabilité et envie. Un roman pornographique comme je les aime, qui vous éveille les sens, et vous donne envie de dévorer ce livre très vite...

Est-ce bien ou mal d'être une nyphomane ? Ne vous posez point cette question et dégustez sans modération cette belle  et chaude confession.
Par Dita - Publié dans : Mes lectures
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Vendredi 4 avril 5 04 /04 /Avr 10:24
Je n'ai pu trouver le livre que j'ai en ma possession aux éditions blanche.

La 4ème de couverture différe de celle que je vais vous donner ici :

"Son drame, son chagrin, c'est de n'être ni sa femme ni même une de ces passades qui donnent le vertige. Elle est la maîtresse, la favorite, celle qu'on trompe avec la première venue. Elle devrait le quitter mais cet homme, ce "gourgandin" trop léger, diabolique et rieur, lui procure un bonheur érotique sans égal. Par vengeance, dépit ou perversité, elle décide de révéler par écrit à l'épouse légitime l'enfer et le paradis de leurs folies sensuelles, jusqu'à l'obscénité."

Mon avis  :

C'est une sorte de journal intime, daté, avec les heures, les détails de ses rdv à elle, de ces attitudes à lui dans la Boite où ils se connaissent depuis si longtemps.

Elle se nomme elle-même la "Gourgandine", elle se livre, livre les autres, toutes ses aventures qu'il vit avec elles, avec elle, pour elle, sans elle.

Elle dit que c'est son roman, une confession à cette épouse invisible, si tranquille, si lointaine.

On se prend d'amitié pour elle, de pitié, puis d'incompréhension. Pourquoi ne va t-elle pas tout avouer à l'épouse légitime, elle se complaît, elle souffre et se venge à sa manière.

Le style de journal ne m'a pas trop plu, mais certains passages m'ont plu de part la vue de cette maîtresse qui connaît mieux l'homme - amant que ne pourra connaître sa propre épouse.
Par Dita - Publié dans : Mes lectures
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Jeudi 3 avril 4 03 /04 /Avr 15:51
J'étais tombée par hasard sur une présentation de ce reportage sur Arte, et je l'ai regardé le soir même. Il est rediffusé ce samedi sur ARTE

A notre époque où le porno est roi, et l'empire des hommes (il ne faut pas se leurrer tout de même), ce reportage nous montre (un peu brièvement à mon goût), une nouvelle forme de porno, adaptée aux femmes.

Mais quelle en est la différence me direz-vous car un porno reste un porno ! Eh bien non !

Voici une présentation succinte du documentaire :

Elles sont artistes et veulent donner libre cours à leurs fantasmes. Cinéma, littérature, photo, peinture, BD, performances... : aucun genre ne leur échappe. Les femmes abordent aujourd'hui la pornographie avec un naturel qui étonne. Quelles sont les images et les représentations qui les excitent ? En quoi leurs créations sont-elles plus originales que celles des hommes ? L'actrice et productrice Ovidie, la photographe Natascha Merritt, l'éditrice Claudia Gehrke, la réalisatrice Petra Joy ainsi que Elke Kuhlen et Nicole Rüdiger - qui éditent la revue coquine Glück ("Bonheur") à l'intention des femmes et des jeunes filles - ont bien des choses à raconter à la caméra qui les a accompagnées dans leurs activités. Des confidences qui jouent volontiers la carte de l'humour, de l'ironie et de l'autodérision.

Mon retour  :

Elles parlent librement de leurs "chattes", et disent pourquoi la cacher ?

Ce n'est qu'à partir des années 70 que les femmes se réapproprient leur sexe ! (Ah l'univers omniprésent des hommes).

Ce fût un sujet intéressant avec beaucoup de références d'Ovidie (l'Oeil secret 1, Osez découvrir le point G etc...), Natacha Merritt, le magazine "Glûck" intéressant et je pense introuvable en France.

Un peu court certes, mais au moins ce genre de sujet existe et Arte nous livre sans tabous et sans "pour les gens de bonnes moeurs" un sujet que je m'en vais creuser à travers quelques recherches.

Regardez-le, enregistrez-le et dites-moi ce que vous en pensez.

Par Dita - Publié dans : Sujets à la télé
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Samedi 22 mars 6 22 /03 /Mars 14:55
Vibratos de nos soupirs, Sensualités de nos frôlements, Extase de ses instants rien qu'à nous... (c) Dita
Par Dita - Publié dans : Pensées du jour
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Vendredi 21 mars 5 21 /03 /Mars 13:59
Dans_mes_filets.jpg
Attention danger !
Par Dita - Publié dans : La Photographie d'Eros
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Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 13:57
Cuisses_Hard.jpg Humm... J'adore les chaussures très hautes.... Et vous ?
Par Dita - Publié dans : La Photographie d'Eros
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