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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 14:37
Ah les hommes… Certains hommes sont des inconditionnels adorateurs, amoureux des femmes, et bien moi je ne peux me passer de vous…. Ça y est je vois déjà les esprits tordus dire : c’est une nympho celle-là… (Dites savez-vous la vraie définition de nymphomane ?! Je ne vous la donnerais pas car je la connais moi).
 
Et non je suis une femme qui depuis qu’elle a découvert les prémices de sa sexualité, et ses atours de femme qui faisaient réagir les hommes, eh bien elle a su qu’elle ne pourrait jamais vivre sans côtoyer les hommes.
 
En même temps, il est dit que la femme est difficile à cerner, comprendre etc.…mais de par mes diverses rencontres, je puis dire qu’il en est de même pour les hommes. Quel est le vrai moteur qui vous donne envie de continuer après une charmante rencontre ?! Le sexe ?! Trop facile car il ne vient pas forcément de suite. La bonne entente ? Une rencontre ne suffit pas à savoir si on pourra lier quelque relation qui soit avec une femme ?! L’envie de la connaître ? Si vous dépassez déjà le stade du virtuel, vous avez envie de la connaître non ?! (En même temps beaucoup d’hommes donnent une image faussée d’eux, et leurs vraies natures se révèlent en réel), ou juste parce que vous n’avez rien à faire d’autre, vous vous ennuyez et ça vous fera passer le temps ?!
 
Difficile donc de savoir ce qui se passe dans vos têtes messieurs, surtout quand la femme vous plaît et qu’elle l’a bien ressenti… Alors, sommes nous si « compliquées que cela ? »
 
Mais à part ces considérations méto-psychico-cervico torturantes (pas mal comme terme non ?!), qu’est ce que c’est agréable un homme tout de même… Bon j’y vais mollo là car les chevilles (et pas que ça) vont gonfler et après qui qui va se plaindre hein ?! Lol !
 
La suite au prochain épisode
Par Dita - Publié dans : Les Hommes
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 14:17
Assis là, l’un en face de l’autre,
 
Vous me parlez mais je ne vous écoute point.
 
Seules vos intonations suaves et chaudes me transportent.
 
J’ai envie de vous faire parler un autre langage…
 
L’avez-vous perçu dans mes prunelles dorées ?
 
Soudain, vous vous approchez de mon oreille, et me murmurez : « De quoi avez-vous envie ? »
 
 
Elle le repousse sur ce lit, s’approche telle une panthère, frôle de la pulpe de ses doigts la commissure de ses lèvres : « Chuttt… »
 
Et là, dans la chaleur de son antre, seul éclairé par la lueur des bougies, elle entame de lascifs mouvements du corps.
 
Les yeux fermés, je m’imprègne du rythme lancinant des vibratos de cette mélodie sulfureuse… Je m’offre à Vous.
 
Elle se retourne, va et vient de son bassin, glissement de ses mains sur son corps ruisselant d’envie.
 
« You are my Angel, Come away above…to bring me love »
 
Mon corps est un appel au(x) pêché(s).
 
« Her eyes… she’s on the dark side… »
 
Soudain, il se lève, plaques ses mains sur sa poitrine et lui murmure : “Ne bouges pas et fermes les yeux”.
 
La musique continue son œuvre, elle a le cœur qui bat à tout rompre…
 
« Love you, love you, love you, love u… »
 
Il s’approche d’Elle, lui bande les yeux et l’emmène.
 
Désormais, Vous êtes le gardien de mon âme, et le maître de mon corps…
 
Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 14:17
Un matin de novembre 2006, je décidais d’aller voir ce qui se passait là-bas… lieu que j’avais déserté voilà plus de deux ans ! Nouveaux arrivants, nouveaux pseudos, nouvelle envie de réapparaître…
 
Une discussion, puis une autre et voilà déjà un message privé : « j’aimerai être votre proie, et que vous me chassiez encore et encore ». Je souris devant mon écran d’ordinateur, l’œil brillant et l’esprit vif…
 
« Mais pourquoi moi ?! Voilà deux heures que je suis ici, et le pouvoir de quelques mots ont suffit pour que tu te jettes dans la gueule du loup »
 
Cet individu, que je considérais donc comme une proie, me suppliait et mettait il est vrai beaucoup d’audace à me provoquer ! Je m’en délectais sans rien lui avouer.
 
J’en su plus très vite : 24 ans, 1m80, chatain aux yeux bleus gris, un corps bien dessiné car sportif. A aucun moment nous n’avons parlé d’échange de photos, juste de se décrire le plus exactement possible. Et il me plaisait de par son audace, sa malice et ce côté joueur !
 
Les heures s’écoulaient et je délaissais le forum pour ne me consacrer qu’à cette proie qui été atterri tout droit dans mes filets… Une semaine d’échanges s’était écoulée et mes 10 jours de vacances tant attendues arrivaient enfin ! Dix jours d’attente pour lui !
 
Je poussais le vice de ce jeu en lui demandant que durant mon absence, il me rédige une lettre manuscrite, exprimant ses désirs et attentes à l’encontre de cette parfaite inconnue qu’il avait osé aborder.
 
J’étais devenue sa chasseuse, et lui ma proie… J’avais un désir puissant pour cet inconnu si audacieux… Il me fit promettre de ne pas l’oublier et de le recontacter dès mon retour. « Ma dernière pensée est pour toi, ma jolie proie que je dégusterai à loisir bientôt ».
 
Nous nous mettions la pression peu à peu, centrés sur notre future rencontre… 10 jours passèrent… très vite… je réapparus et lui aussi… Il me pressait, m’empressait pour un rendez-vous… fixé le 1er décembre, jour particulier pour moi !
 
La chasse se ferait sur son territoire, et j’y mis mes conditions : « tu m’attendras avec juste une serviette enroulée autour de la taille, les yeux bandés et dos à la porte. Le code pour que tu saches que c’est moi sera deux coups à ta porte et mon pseudo ». Je doutais un peu qu’il accepte cela, et pourtant… ce jeune homme était prêt, plus que prêt… à tout me céder !
 
Rien qu’en pensant à cette date si proche, mon corps était en continuelle excitation, et mes moments d’égarements en solitaire devenaient impulsifs et des plus fréquents. « Trois semaines que je n’ai pas festoyé, alors attention à toi ma jolie proie… je vais te dévorer ! »
 
Le jour J arrivait… et la tension augmentait de part et d’autre : RDV à 20 heures à l’adresse indiquée… Je passais toute ma soirée à me préparer, ayant décidé de m’enduite le corps de crème, et de ne passer qu’une robe et des bottes. La touche finale était ce parfum déposé au creux de mes seins, puis direction sa tanière.
 
Qui de nous deux était le plus anxieux ? Il faisait très froid ce jour là mais mon corps brûlait et des effluves de lionne en rut se dégageaient de moi.
 
Me voici devant la porte de son immeuble, plus que cinq étages et il sera enfin à moi… Deux coups, le mot de passe, un verrou qui tourne, une porte qui s’ouvre… Une douce chaleur m’envahit, des senteurs d’encens m’enivre, un fond musical me transporte, et je suis brûlante…
 
Il est là, accroupi…son dos face à moi qui suis déjà nue. Je prends le foulard à ma disposition et lui bande les yeux. Je prends sa main, et la dépose sur mon visage ; je lui lèche es doigts un à un avant d’enrouler mon foulard autour de son poignet.
 
J’évite de le frôler ou de le toucher, mais je l’admire. Il me plaît beaucoup. Un corps d’homme et une peau laiteuse d’enfant. J’ai envie de le mordre, de le lécher, de le caresser, de me coller et frotter à lui, de l’enivrer de mon parfum ! J’empoigne son autre poignet, et je les réunis ensemble, ni trop serrés, ni pas assez.
 
La proie ne bouge pas, je sens une chaleur irradié son corps, un effluve masculine et entêtante exhalée de son corps, et son sexe se tendre sous sa serviette bientôt futile !
 
Tu ne bouges plus, tu es dans l’attente d’un geste, d’un mouvement, d’un frôlement de ma part… Je te fais frissonner en déposant un souffle léger et chaud le long de ton dos, puis ton cou… Je suis si proche mais tu ne peux m’atteindre !
 
Je respire ta peau de mâle, je souffle délicatement sur tes tétons, et ta serviette tombe me révélant un splendide phallus. Ta respiration s’est accélérée, je m’avance d’un pas, et tu sens la pointe de mes seins dressés sur ton torse galbe ! Tu soupires et j’ai envie de te baiser !
 
Mais non, je te fais languir, je veux t’exciter longtemps, avant de m’empaler sur ton dard… Mes petits ongles vernis de rouge carmin profilent tes bras, tes épaules, longent tes reins, et j’emprisonne ton joli fessier de mes deux mains, en collant mon corps contre le tien ! Tu cherches ma bouche…
 
Ton excitation est à son comble, le phallus droit et fier contre ma peau brûlante, j’ondule et t’excites un peu plus, tu gémis… je dépose une morsure ici, tu gémis plus fort, une goutte pointe sur ton sexe, et je me colle encore plus à toi ! Et je continue mon ascension de ma langue et de mes dents sur chaque ligne de ton corps sauf…
Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 14:17
Je frappe, il m'ouvre la porte, pas un mot ne sera prononcé... Je suis brûlante... je prends sa main, et la dépose sur mon visage, je lèche ses doigts un à un avant d'enrouler mon foulard autour de son poignet... 

J'évite de le frôler ou le toucher, je ne fais qu'admirer la forme de son corps... J'empoigne son autre poignet et je les réunis ensemble, ni trop serré, ni pas assez... 

La proie ne bouge pas, je sens une chaleur irradiée de son corps, son sexe poindre sous sa serviette qui sera bientôt retiré...
 
Tu ne bouges plus tu es dans l'attente d'un geste, d'un mouvement, d'un frôlement de ma part... Moi je n'ai plus un seul entravement sur mon corps... 

Je dépose juste une goutte de parfum au creux de mes seins, pour t'enivrer un peu plus...Et telle la lionne qui va dévorer sa proie je fais le tour de ma proie...
 
Je te fais frissonner en soufflant délicatement le long de ton dos... Puis de ton cou...Je suis si proche mais tu ne peux me toucher... Je sens ta peau d'homme, je souffle doucement sur tes tétons.... la serviette tombe...
 
Ta respiration s'est accélérée, je m'avance d'un pas vers toi, et tu sens la pointe de mes seins sur ton torse, mes petits ongles vernis frôlent tes bras, remontent sur tes épaules, longent tes reins, et mes deux mains emprisonnent ton joli fessier. 

Tu es très excité, et je sens ton sexe durcir contre mo ventre brûlant... Je dépose une douce morsure sur un de tes tétons, mes mains parcourant ton corps (j'adore le corps de l'Autre...) 

Telle une danseuse orientale, mon corps ondule contre le tien, pour t'exciter davantage...ma main remontant sur ta nuque, mes lèvres s'approchant de ton cou, de ton oreille, ma langue se faisant coquine...
Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 14:17
Une chambre rouge, dont les rideaux tirés ne laissent aux bougies qu'à remplir la pièce d'une lumière timide mais chaleureuse, comme cette jeune femme allongée au travers du grand lit. Sur la table quelques fraises essaiment un parfum sucré presque estival. Pourtant, le mois de novembre et son cortège de morosité et de frimas sévit à l'extérieur. Mais dans cette chambre il règne un climat de chaleur qu'électrisent la jeune femme et l'homme.
 
Lui se tient debout près de la fenêtre donnant sur la rue principale. Un halo de buée cercle une partie de la vitre. « Une petite coupe de Champagne ? » « Avec plaisir  », répond la jeune femme.
 
Célia est l'avatar d'une Venus, non pas la beauté immuable des spectres sur pages glacées de magazine. Tout juste ces petites imperfections qui donnent à un être toute la puissance et l'expression de son charme. Elle a le sourire rieur et son être tout entier exhale une assurance effarouchée presque coquine.
 
Le champagne taquine les pommettes. « C'est drôle nous ne nous connaissions pas et là nous prenons une coupe dans cette chambre...»
 
Célia se tût et dégusta sa coupe de champagne, ayant ôté ses chaussures à talons qu'elle avait porté toute la journée, regardant l'homme dos à elle qui dégageait un charisme impressionnant. Il était beau dans cette lumière des plus tamisée, et tout en imaginant le corps de ce jeune homme sous son complet, elle sentit une douce chaleur l'envahir.
 
Etait-ce l'effet du champagne, ou bien l'ambiance qui régnait dans cette pièce ? Il se retourna avec sa coupe de champagne à la main, et longea de son regard des plus pénétrants le corps alangui de la jeune femme, lentement comme s'il l'effeuillait, jusqu'à croiser son regard qui, avec les bougies lui donnait une couleur ocre presque d'or..
 
Telle la bulle de champagne dont la légèreté l'accompagne au sommet de la coupe, le regard du jeune homme fit tendrement frissonner la jeune fille qui éclipsa l'organdi qui élançait sa silhouette. Les épaules désormais nues laissaient deviner une silhouette des plus féminines...
 
 Un instant de silence électrique anima la pièce. « Viens t'asseoir auprès de moi », lança-t-elle L'homme s'exécuta. Il était maintenant au niveau de ses jambes. Une main vient effleurer la plante du pied puis s'y atèle. La deuxième vient la rejoindre. Commence alors un massage qui rapidement accélère la respiration de la demoiselle.
 
D'une grande élégance, Célia laisse une jambe sans l'autre. Ce petit geste anodin permet d'entrevoir le haut de ses cuisses et le grain de peau paré de ses points du plaisir. Doucement les mains remontent, retire un bas puis le second. La jeune femme se laisse faire. "Vous reprendriez bien une autre coupe ? » demanda l'homme d'un ton rassurant, « nous avons laissé les fraises ? » «  Nous aurons tout le temps de nous rafraîchir avec ce philtre enivrant. Occupez-vous de moi je brûle de désir. Cependant je vous laisse le loisir de liberté à votre imagination. »
 
 Il ne fallut pas longtemps pour que la jeune fille s'aperçut de la toile de flanelle tendue entre les jambes du garçon. Callimaque s'agenouilla et pratiqua la plus envoûtante des danses de baises. Comme un rituel divin, une marche aux offrandes, les lèvres parcouraient les pieds puis la jambe entière dans un crescendo sensible de la respiration de Célia. Bientôt la main vient rythmer la danse. Juste là derrière la cuisse sous le galbe de la fesse, elle effleure l'objet de convoitise. Une goutte ruisselle sur sa main. 

Désormais l'odeur des bougies n'est plus le seul signe olfactif en présence. Ce parfum est certainement la quintessence des parfums. « Embrasse-moi », lui murmura-t-elle, puis plus fort, « j'ai envie de toi, envie de toi entièrement je ne veux plus qu'une union, qu'un seul corps !!! ». Elle délaçât sa robe qui fit émerger une explosion de charme...
 
 
A ces mots Callimaque s'approchât de la jeune femme et lui déposa le plus doux et le plus sensuels des baisers ; de deux bouches qui se rejoignent délicatement, leurs lèvres s'enflammèrent, se cherchant, se mêlant fougueusement mêlés à leurs soupirs qui se firent plus chauds tels le brasier d'un feu qui est ranimé. 
Debout, dans ses plus beaux sous-vêtements, Célia frissonne, elle brûle de désir pour cet homme, pour ce corps encore vêtu et brûlant contre le sien, pour ce désir naissant qu'elle sent tendre sous le fin tissu du pantalon de Callimaque. Ses joues sont aussi rouge que le velours qui décore cette chambre, et elle veut s'offrir à lui. 
Lui sait que cette femme lui est offerte, et il veut la savourer entièrement, comme la pêche la plus juteuse et sucrée qu'il existe dans son jardin d'Eden ; il la veut dans ses derniers retranchements, prête à se donner entièrement à lui. "Chut, ne dis rien et laisses-moi faire" et à ces mots, sa main glissa le long du cou de la jeune femme, descendit délicatement sur ses épaules faisant glisser la bretelle en dentelle noire de ce soutien-gorge tendu à l'extrême par son opulente poitrine, frôlant au passage le galbe de son sein de ses doigts fins. Il continua son chemin repassant le long de son cou pour faire glisser la deuxième bretelles, et déposa un doux baiser sur ces jolies épaules qui frissonnèrent à ce contact des plus sensuels. 
Elle avait envie de lui, et de sa peau, elle voulait sentir son torse brûlant entre ses doigts, caresser et humer, embrasser et lécher....mais c'est lui qui menait la danse et qui l'emmenait dans un tourbillon de sens, du plus doux au plus fort.
 
Le tourbillon des sens provoqué par la situation est des plus érotiques. Célia est allongée sur le dos. Après avoir dégrafé son haut noir, Callimaque s'entreprit à gagner du temps sur une issue que les deux acteurs connaissaient désormais. La respiration haletante de Célia permettait à Callimaque de battre la mesure. Sa langue tournoyait maintenant autour de la corolle de sa poitrine toute durcie d'excitation. La langue explorait ce corps.
 
Entre les deux êtres, l'impression d'une entente entre les deux êtres faîtes depuis des années, permettait dans la pièce une grande complicité. Délicatement, Callimaque retira le carré de tissu dentelé qui cachait encore la toison de Célia. Sa langue et ses lèvres embrassaient tendrement cette zone brûlante. Avec l'aide de ses bras, ce dernier entreprît d'ouvrir doucement les jambes de Célia. La bouche au plus près de son antre, Callimaque s'enivre des parfums féminins. La langue glisse à la commissure des cuisses. Un petit râle aigu de Célia lance les hostilités. Toujours avec ses jambes dans ses bras, la langue explore le fruit tout humide. Son bouton est enflé de désirs.
 
Callimaque s'interrompt un instant, laissant Célia toute chancelante, les cuisses toujours écartées offrant son intimité intégrale à la vue de cet homme, pour ôter sa chemise doucement. Célia le regard avec ces yeux de velours, ces yeux d'envie, elle a envie de toucher son torse si beau, d'explorer son grain de peau, d'en humer le parfum, de coller sa poitrine tendue sur le corps de Callimaque.
 
Il se penche un instant vers elle, frôlant de son corps les tétons durcis de désir, et dépose un doux baiser sur ses lèvres entrouvertes. Célia profite de cet instant pour l'enserrer de ces cuisses, elle veut prolonger le contact de cette peau, passe une main dans ses cheveux, et lui dévore la bouche telle une lionne affamée.
 
Le désir de Callimaque ne se fait point attendre, le pantalon prêt à craquer tellement son envie est puissante pour cette femme nue, magnifique avec ces douces formes. La flanelle glisse le long de ses jambes et soucieux du détail celui-ci retire ses chaussettes. Célia est là devant lui les jambes nettement écartées avec un regard d'attente et d'impatience. N'est-ce pas là, la beauté étincelante, un corps de femme emplie de désir s'offrant au jeune homme.
 
Dans la lumière de la bougie, Célia peut observer le regard de son amant. Ses yeux verts taillent les esquisses de deux noisettes. Callimaque veut prendre son temps. Il vient s'allonger nu à côté de sa promise. Désormais les deux corps occupent un bel espace sur les draps de soie ocre. Ils s'embrassent comme si en un instant la passion avait élevé ses deux êtres dans un échange charnel quasi spirituel, bien loin de la bestialité que caractérise souvent le
stupre.
 
Ils s'embrassent et les mains se promènent à la découverte de chaque cm2 de peaux à la conquête de leur plus profonde intimité. Les lèvres de Célia sont douces et ses baisers tendres mais soutenus. Célia décident alors que les lèvres de son partenaire n'étaient plus assez pour elle. Très délicatement elle s'emploie à réaliser ce que Callimaque avait fait précédemment: l'exploration et l'apprentissage du corps de son amant.
 
Sa langue et ses lèvres chaudes descendent le long du torse du jeune homme pour embrasser l'éperon de son compagnon. Là goulûment elle embrasse le sexe de son homme et commence un mouvement de va-et-vient très efficace. Callimaque l'arrête. « Attends, je voudrais encore m'occuper de toi plus encore ». D'un mouvement rotatif, la croupe de Célia se retrouve à présent sur le nez de Callimaque. Après quelques minutes passées ainsi les deux êtres dégagent une excitation mutuelle sans commune mesure. Une odeur glamour emplit la pièce.

D'un geste, Callimaque s'empare de la bouteille de champagne et positionne Célia sur le dos les jambes bien écartées et les genoux remontés. Très délicatement celui ci laisse échapper un filet de champagne sur le bas-ventre de sa promise. Le contraste de fraîcheur fait frémir la vénus. La langue participe activement, les mains également. Célia prend à son tour la bouteille et tente une nouveauté, les bulles ressenti le long de sa verge dure comme de l'ébène ne laisse pas Callimaque indifférent. Pour s'apaiser les deux êtres s'embrassent à nouveau tendrement.

« Je veux à présent que tu viennes en moi, » dit Célia.  « Je suis maintenant ta promise dispose de moi comme tu l'entendras ». Elle n'avait pas fini ses mots que de sa bouche elle enfila un capuchon indispensable sur l'objet de son
désir.
 
Tristan l'a regardât un instant, si belle et si féline avec ces cheveux courts tout ébouriffés, ses seins lourds et tendus tels deux fruits des plus succulents, ses hanches généreuses, son petit ventre rond si doux à caresser. 
Il s'approchât de sa bouche, et elle prit délicatement son sexe tendu entre ses mains, déposa un baiser sur le bout avant de l'habiller de son écrin de latex rose transparent. Enfin elle allait l'avoir en elle, le sentir au plus profond de son antre... 
« Fais-moi l'amour » furent les derniers mots qu'elle lui donnât de sa bouche, avant de ne s'offrir complètement à lui, les pupilles aussi foncées que la panthère prête à bondir sur sa proie. Les jambes largement écartées, Célia fulminait d'impatience adossée au lit. Délicatement Callimaque entreprit d'introduire son gland turgescent dans cette petite fente humide. La demoiselle se cambrât essayant de conquérir centimètre après centimètre. « Viens » dit elle soupirant de plaisir.

Mais le jeune homme est bien décidé à honorer comme il se doit une si belle femme. Il l'éperonne après quelques instants. Le cri qui s'échappe de la bouche de Célia est une véritable explosion de plaisir. Dans le même temps sa langue lui taquine les corolles de sa belle poitrine. Ils s'embrassent dans un mouvement continu de va-et-vient.
 
Célia se retourne et présente son joli Callipyge. Callimaque l'éperonne à nouveau tout en n'oubliant pas de titiller ces jolies fesses offertes à lui. Il la retourne à nouveau et assis en tailleur ils s'étreignent en s'embrassant de manière presque amoureuse. Le rythme s'accélère. Célia demande à son amant d'être original pour finir... elle jouit. Tout en caressant le bouton qui lui donnera son deuxième orgasme Callimaque se retire.
 
« Prends-moi les fesses » susurre sous l'excitation notre belle Célia. L'amant s'exécute, le plaisir n'en est que plus grand mais il est déjà temps de s'abandonner et Callimaque se retire et en retirant le capuchon macule le bas du dos de sa partenaire du plus bel effet.

Dans les bras l'un de l'autre Callimaque et Célia entreprennent de se raconter leur vie. Callimaque va faire couler un bain et rejoint les bras de sa douce. La nuit ne fait que commencer...
Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 14:17
Par cette journée hivernale, elle avait décidé de s'offrir une pause douceur au hammam. Elle se dit qu'elle pourrait se faire masser par des mains douces, délicates et expertes pour la détendre complètement de sa semaine harassante. 

La voici donc partie, en tenue décontractée pour se retrouver en toute sérénité... pourquoi pensait-elle à un masseur et non à une masseuse ?! Elle ne voulait pas se l'avouer encore...

A peine arrivée, le cadre lui plût de suite, avec ces embruns d'encens, sa douce chaleur, son décor digne de la Médina, ses hôtesses agréables.

Elle passa un simple peignoir, se disant qu'elle n'aurait pas à cacher sa pudeur, n'ayant aperçu que des femmes dans ce lieu de repos.

L'hôtesse lui avait indiqué de s'installer dans la pièce des massages, sobre, blanche, une table en bois pour s'y allonger, des vapeurs de patchouli pour l'y embaumer, et elle seule dans cette salle pour se faire masser.
Elle se dévêtit, posa son peignoir sur la table, et se coucha sur le ventre, les yeux fermés, les pensées vagabondant telle une coccinelle...

Elle n'entendit pas les pas qui s'approchaient d'elle, mais elle sentit une douce odeur de vanille embaumer la pièce ; elle laissât ses yeux fermés et les mains s'approcher d'elle. Ces mains étaient agréables, elles commencèrent par les pieds, la chatouillant tel l'air en été, massant délicatement ses chevilles, remontant le long du mollet, agaçant le pli du genou, pour redescendre à nouveau sur le pied...Elle se sentait bien, et imaginait que ces mains étaient celles d'un homme, celles dont elle rêvait la nuit dans son lit, dans ses rêves enfouis...

L'ascension avait commencé... les mains remontaient sur les cuisses, pour s'arrêter juste au niveau du mont que formait la croupe cambrée de la jeune femme...Inconsciemment elle écarta légèrement les cuisses... Les mains continuaient délicatement leur ascension et leur découverte, de ce corps qui dégageait une douce chaleur, chaleur de la pièce ou chaleur de ces mains ? Chaleur du bien être ou chaleur de l'envie ?

Envie d'une ascension moins sage, comme dans ces plus secrets désirs, envie que ces mains remontent encore un peu, s'attardent là sur cette ligne cachant un trésor, odorant, enivrant... Elle se reprit un peu, et les mains étaient maintenant sur sa cambrure, elle se sentait offerte, avait envie que cette ascension se asse plus lente, plus soutenue, plus... Etait-ce dans son esprit ou avait-elle perdu le sens des réalités, mais elle eu la fugace impression qu'un instant ces mains avaient frôlé la malle du trésor ?

Elle ne rêvait pas, elle sentit q'une des mains s'aventurait vers ce passage secret, aussi chaud que le contact et aussi moite que l'atmosphère de la pièce ; l'autre main continuant son ascension sur la courbe de ses reins, parcourant l'échine délicatement. Elle avait envie de dire stop, mais sa respiration s'était accélerée. Etait-ce la masseuse qui osait s'aventurer ainsi, elle aurait voulu voir qui, mais ce laissait envoûtée par ce massage qui devenait caresses... 

Au plus profond d'elle, elle voulait ses caresses, elle voulait que le coffre s'ouvre, pour laisser apparaître son trésor.

Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 14:17

Le jour J arrive, et j’ai un message de toi sur mon répondeur, m’indiquant que tu ne pourrais pas être là .. je suis triste mais sachant ce que s’est ne t’en veux point... et tu me rappelles, nous discutons un peu, j’aime ta voix aussi, son intonation, notre complicité naissante...et le rendez-vous est fixé la semaine suivante...

Longue journée, et après déjeuner, je pense à toi, et à cette fin de soirée, cette petite boule d’excitation au creux de l’estomac...nous échangeons quelques mots au cours de la journée.. "tiens je me ferai bien masser moi...tu as de l’huile ? ...Oh je ne retrouve plus mon huile d’amande douce...bon j’en achèterai une ce midi...et me voilà en route vers toi plongée dans mon roman mais ayant d’autres pensées en tête !

Nous voilà donc arrivés à destination, charmant jeune homme avec un sourire délicieux... Rien que pour le plaisir de ce minuscule ascenseur (1er étage), nous montons dedans, j’aime la proximité aussi de deux personnes. Nous entrons, deux serviettes, un paréo, et une clé pour nos vestiaires... "suis-moi " et nous voilà donc dans cet endroit chaud, nous dirigeant vers le coin " cabine "...

Tu m’excuseras mais mon minimum de pudeur fait que je vais me changer dans le petit local là-bas ; j’en profite pour jeter un œil pour te regarder, hummm joli corps, musculature des plus agréables, joli boxer et jolies fesses aussi. Te voilà avec ta micro serviette et moi mon paréo, touchant tes jolis muscles et j’adore ce premier contact de peau. " Allez on va se prendre un café... 

Petite discussion l’un en face de l’autre, les jambes imbriquées, les yeux dans les yeux, et ce baiser...tout chaud, sensuel, toi comme toi... Allons au sauna...petite douche auparavant, peu de monde aujourd’hui, on se savonne, on se regarde, tu es beau tu sais...nous rions ensemble, corps contre corps, bouches qui se cherchent...nous prenons le temps. Un petit quart d’heure dans cette atmosphère brûlante où chaque geste, chaque parole se fait au ralenti, tu m’embrasses, ta main sur ma cuisse, ma main sur ton épaule...sortons, il commence à faire trop chaud ici.. seconde douche... pour aller ensuite au hammam...

Nous entrons dans un brouillard de vapeur où les corps ne sont que des fantômes, des ombres floues et vaporeuses alanguies ... côté à côté, yeux dans les yeux, on s’embrasse à pleine bouche...non viens pas ici... je suis déjà trempée et j’ai envie d’être avec toi, seuls... une pause, un verre d’eau bien frais, une nouvelle douche chaude, et tu vas chercher l’huile de massage...Mon corps a envie du tien, de ta bouche, de tes mains.

Nous voici tous les deux isolés dans cette pièce " froide " mais rien que nos envies vont réchauffer l’atmosphère de l’endroit : serviettes étalées sur ce lit, j’ai envie que tu me masses...tu t’approches, tous les deux nus, on s’embrasse, on se frôle, mes mains caressant tes épaules et ton dos, toi réveillant le feu qui est en moi, ta bouche se faisant coquine, ta langue gourmande et tes mains agaçant la pointe de mes seins...

Me voilà sur le ventre, vision de mon dos, mes reins, mes fesses rien que pour toi, offerte à tes caresses...tu verses l’huile le long de ma colonne ce qui me fait frissonner, et tout en y faisant glisser ta douce main tu te poses entre mes jambes ton corps brûlant contre mes reins...ta bouche qui me mordille le cou...tu m’excites doucement. Tes mains sont font douces, entreprenantes, ton corps glisse sur le mien, ton sexe se réveille à ce contact et le mien s’entrouvre peu à peu... tu fais glisser ta main vers lui déjà humide du désir pour toi...tu joues avec mon sexe, m’écartant plus les jambes, ma respiration se faisant plus haletante...tu fais glisser un doigt en moi.. et tu commences à jouer avec ce bouton si bien caché en le titillant de ton pouce...ce qui a pour effet de me faire gémir doucement...

J’ai envie que tu prolonges cette caresse, je me retourne donc, ton corps collé contre le mien, je sens ton excitation contre mon ventre, on s’embrasse à perdre haleine, langues qui se cherchent, langues qui se fouillent, ta bouche descend sur mes seins, et ta main glisse vers mon sexe, ton pouce agaçant la perle que je gâche entre mes lèvres ouvertes, tes doigts glissant dans mon antre brûlant et se faisant fougueux... hummm c’est bon tes doigts en moi, tu accélères les mouvements, je ne sais pas combien tu en as mis, le plaisir augmente au fur et à mesure de la cadence, tout mon corps brûle, j’ai envie de tes doigts plus profondément et instinctivement tu le sens, je suis au bord de la jouissance et tu me terrasses peu à peu...premier orgasme et tu ne t’arrêtes pas, viens un second, et un autre...et encore...à tes doigts s’ajoutent ta bouche chaude brûlante qui entre en contact avec mon sexe bouillant, ta langue qui s’active entre mes lèvres, qui accompagne tes doigts trempés de mon plaisir...ce qui a pour effet de m’extirper des cris de jouissance... je suis haletante, tremblante, brûlante non bouillante...tu me laisses me calmer, tu me regardes, me souris, je sens ton sexe tendu...

J’ai envie de te donner du plaisir moi aussi...à ton tour, mets-toi sur le dos, laisses moi t’admirer, faire glisser de l’huile sur ton torse, caresser chaque partie de ton corps. mes mains glissent sur toi, mon corps contre le tien, ton sexe entre mes lèvres, tu me sens trempée, et je te caresse avec, je t’excite doucement...tu m’excites aussi, je te regarde, continues mes va et vient, t’embrasses avec fougue attrapant tes lèvres, cherchant ta langue...puis je redescends vers ton cou, ton torse, ton ventre, et voici ma bouche à la hauteur de ton sexe, mes mains le caresse, mes lèvres s’y dépose en un doux baiser qui te fais frémir. Puis doucement, je l’attrape rien qu’avec mes lèvres chaudes, fais glisser le gland dans ma bouche, ma langue se faisant aguichante, le redépose sur ton ventre, l’embrasse, pour le reprendre encore, et le faisant glisser d’un coup dans ma bouche... je commence un doux et long va et vient, croisant ton regard, sentant que tu aimes, me délectant de ton plaisir en me faisant plus féline...j’ai envie de te faire jouir avec mes doigts, avec ma bouche...et voulant continuer à me faire plaisir, nous nous retrouvons tête-bêche..

Ma langue s’active, la tienne aussi, tes doigts en moi, ma main qui te serre le sexe, ma bouche gourmande, mon sexe trempé...je...tu...osmose de la jouissance et du plaisir partagé.
Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 14:17
Tout a commencé par cette phrase : " C'est une catastrophe, il y a beaucoup trop de filles qui apprécie les plaisirs saphiques et pas assez d'homosexuels masculins. Le marché des filles hétéro s'amenuise"... j'avais apprécié la réflexion et nous avons commencé à discuter.

Nos brefs échanges se sont transformés à de longs mails où chacun de nous se dévoilait un peu plus à chaque fois, sans vraiment trop en dire...tes mots m'ont décacheté au fur et à mesure...

Et hier je t'ai demandé si tu trouverais trivial de te proposer un verre ou un dîner, en ajoutant seriez-vous prêt à me le donner dès le premier rdv, bien avant même d'avoir émis une seule parole, 

Juste deux regards et deux bouches qui se scellent... Votre réponse m'a de suite électrisée : "Ma soirée autant que mes lèvres vous sont offertes, ouvertes, chaudes, humides et accueillantes...

Me voilà donc en route pour notre rendez-vous de 18h, à la sortie de la station de métro la plus remplie de Paris, avec comme seul indice pour nous reconnaître, la couleur de nos manteaux respectifs...

J'arrive en retard, et je traverse le long couloir me menant jusqu'à toi, un saxophoniste jouant un superbe mélodie...Je m'apprête à sortir de l'escalator, quand je t'aperçois, et tu me fais signe de te suivre...pas un mot, juste toi derrière moi, pleins de monde autour de nous, tous pressés de rentrer chez eux.

Tu te retournes, nous nous retrouvons face à face, nos regards qui ne se quittent plus, nos sourires non plus, instant magique... Tu frôles mon visage de tes mains, me repousse une mèche de cheveu, tu sens on et j'aime ton odeur d'homme mêlée à ton parfum.

Tu me sers contre toi d'un coup, m'entourant de ton bras, recherchant le contact avec ma peau, effleurant mes lèvres, ma main sur ta chemise à la recherche de ta peau, et tu m'embrasses fougueusement ; ta bouche cherche la mienne, ta langue fouillant ma bouche et ta main cherchant mon intimité...

Oui tu as déjà glissé ta main dans mon pantalon, cherché l'endroit le plus secret de mon corps, parmi cette foule bruyante...bouche qui s'active au rythme de tes doigts, ou doigts qui accélèrent au rythme de tes baisers brûlants...je ne sais plus, plus rien ne compte, juste nous deux ici dans cette rame de métro, le son de saxophone pour nous accompagner...moi la pudique qui va jouir au milieu de ces gens, tentant de cacher ta main avec mon manteau, toi me serrant encore plus fort. j'aime et tu m'as fait jouir...

Tu me regardes, je lèche ton pouce, tu lèches les autres doigts avec gourmandise tout en me souriant...tu me soulèves, me plaque contre le mur et tu m'embrasses...

"Bonjour Mademoiselle"...

"Bonjour Monsieur"...
Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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